Apologétique contre les sectes talmudistes

"les hommes les plus éminents parmi les Juifs ont de tout temps enseigné, avec une entière conviction, la Trinité dans une unique essence divine, c'est-à-dire les Prophètes et les hommes avancés en sainteté" (Advers. hoeres. lib. 1, 5)

"La foi qu'avant l'Incarnation du Fils de Dieu les saints Patriarches et les Prophètes ont reçue divinement, que les Saints Apôtres ont aussi entendue du Seigneur lui-même venu dans la chair..., professe un seul Dieu Trinité, c'est-à-dire le Père, le Fils et l'Esprit-Saint." (Ex libro S. Fulgentii episcopi, de Fide ad Petrum. Cfr. Brevi. Domin. S. S. Trinitatis, lect. IV.)

Ouvrirais-je le sein, et ne ferais-je pas enfanter ? dit Yahweh ; ou
bien moi qui fais naître, fermerais-je le sein ? dit ton Dieu. (Isaie, LXVI, 9)

• Le Chevalier P.L.B. DRACH: (Sommaire)
  

• De L’harmonie entre l’Église et la Synagiogue T1 (PDF)
  
• De L’harmonie entre l’Église et la Synagiogue T2 (PDF)
  
• Première lettre d’un Rabbin converti – 1 (PDF)
  
• Deuxième lettre d’un Rabbin converti – 2 (PDF)
  
• L’inscription hébraïque du titre de la Sainte Croix (PDF)
  
• Le Pieux Hébraïsant (PDF)
  
• La Cabale des hébreux vengée de la fausse imputation de panthéisme (PDF)
  
• Relation de la conversion de Mr Deutz, précédée de considérations sur le retour d’Israel dans l’église de Dieu.
  (PDF)
  

"Il y a deux auxquels s'unit un (autre), et ils sont trois; et étant trois, ils ne sont qu'un. Ces deux sont les deux Jéhova du verset Ecoute, ô Israel, Elohênu vient s'y joindre. Et c'est là le cachet du sceau de Dieu: Vérité. Et comme ils sont joints ensemble, ils sont un dans l'unité unique." (Zohar, sur le livre des Nombres, fol. 77, col. 307.)

• L’antéchrist : Choses certaines, probables, indécises ou fantaisistes.
  
• La police autour de la personne de Jésus-Christ
  
• Valeur de l’Assemblée qui prononça la peine de mort contre Jésus-Christ
  
• Un Fléau plus redoutable que la Guerre, la Peste, la Famine.
  
• Satan Contre Jésus
  
• Une Très ancienne Prophétie sur la prospérité passée et la décadence actuelle des états chrétiens
  
• Les étapes d’une Nation qui meurt
  
• Dieu à fait la France guérissable
  
• La Religion de Combat
  
• L’avenir de Jérusalem
  
• La Vierge Marie dans l’Orient chrétien (PDF fenêtre extérieure)
  
• Jeanne d’Arc et les héroïnes Juives HTML (ou ici en PDF externe)
  
• Le Christ rejeté (PDF fenêtre extérieure)
  
• Jeanne d’Arc et Charles VII (PDF
  fenêtre extérieure)
  
• Rotschild (PDF fenêtre extérieure)
  
• La Prépondérance juive Tome 1Ses origines – Les Israélites dans la révolution française.
  
• La Prépondérance juive Tome 2 Son organisation – Napoléon et les israélites
  
• L’entrée des Israélite dans la société Française et les états chrétiens (ou en PDF ici)
  
• La cause des restes d’Israël dans les conciles Œcuméniques (PDF fenêtre extérieure)
  
• La question du Messie et le Concile du Vatican (PDF fenêtre extérieure)
  

"David a chanté une louange sublime, éminente. Et quelle est-elle ? Dieu, mon Dieu, Toi (Psaume LXIII, 2). Car, pourquoi, après avoir dit Dieu, répéterait-il mon Dieu, si ce n'était pour annoncer un autre degré qui est propre à Dieu ? Nous voyons en ce verset les trois degrés, Dieu, mon Dieu, Toi. Bien qu'ils soient trois, ce n'est qu'un degré unique dans le mystère du Dieu vivant." (Zohar, partie II, fol. 62, col. 248.)

"Rabbi Hai le Gaon rapporte que les trois lumières d'en haut n'ont point de commencement; car elles sont l'essence, la nature et le principe de tous les principes. D'après la tradition de ce Gaon, elles s'appellent lumière primitive, lumière illuminative, lumière claire. Et ces trois ne sont que la même chose, que la même essence, unis de l'union la plus intime dans le principe de tous les principes." (Commentaire du rabbin Behhai sur l'Exode, XXXIII, 19.)

S. Grégoire : (hom. 40.) Mais comme le peuple juif a refusé d’entendre dans le sens spirituel les paroles de Moïse, il n’a pu parvenir à celui que Moïse avait prédit et annoncé.

S. Cyrille : Les prêtres des Juifs, jaloux de la gloire de Jésus, avaient une preuve certaine que Jésus les avait guéris soudainement et miraculeusement par un acte de sa toute-puissance.

S. Cyrille : Cet homme élevé dans la loi des Juifs ne pouvait ignorer que le Dieu fait homme devait naître, selon la chair, de la race de David

S. Eusèbe : Les princes des Juifs s’étant trouvés réunis dans le temple, Jésus leur prédit sous le voile de cette parabole les excès auxquels ils allaient se porter contre lui, et la destruction de leur nation qui devait en être le châtiment

Théophylacte : Notre Seigneur distingue ici deux condamnations [ou deux ruines] des Juifs : la ruine de leurs âmes, lorsque Jésus-Christ leur a été un objet de scandale, et il y fait allusion par ces paroles : « Quiconque tombera sur cette pierre sera brisé » ; la ruine de leur nation et sa dispersion dans tout l’univers, qui eurent pour cause cette pierre qu’ils avaient rejetée, comme l’indique le Sauveur : « Et celui sur qui elle tombera elle l’écrasera » (ou le réduira en poussière). En effet, les Juifs ont été dispersés loin de la Judée, dans tout l’univers, comme la paille qui est emportée par le vent. Et remarquez l’ordre des événements, d’abord le crime énorme qu’ils ont commis contre Jésus-Christ, et puis à la suite la juste vengeance de Dieu.

Les prescriptions de l’Ancien Testament sont terminées !
[La sainte Église romaine] croit fermement, professe et enseigne que les prescriptions légales de l’Ancien Testament qui se divisent en cérémonies, saints sacrifices, sacrements, parce qu’ils avaient été institués pour signifier quelque chose de futur, bien qu’en ce temps-là ils aient été adaptés au culte divin, une fois venu notre Seigneur Jésus Christ qui était signifié par eux, ont pris fin et qu’ont commencé les sacrements du Nouveau Testament.
Quiconque encore après la Passion met son espoir dans les prescriptions légales et se soumet à elles en les croyant nécessaires au salut, comme si la foi dans le Christ ne pouvait sauver sans elles, a péché mortellement.
Elle ne nie pas cependant que, depuis la Passion du Christ jusqu’à la promulgation de l’Evangile, elles ont pu être respectées du moins dans la mesure où on les croyait si peu que ce fût nécessaires au salut. Mais, après la promulgation de l’Evangile, l’Eglise affirme qu’elles ne peuvent être respectées sans l’anéantissement du salut éternel.
Donc elle dénonce comme étrangers à la foi du Christ tous ceux qui depuis ce temps-là observent la circoncision, le sabbat et les autres prescriptions légales, et affirme qu’ils ne peuvent pas du tout avoir part au salut éternel, sauf si un jour ils reviennent de ces erreurs.
Donc à tous ceux qui se glorifient du nom de chrétiens, elle prescrit de manière absolue qu’à n’importe quel moment soit avant soit après le baptême il faut renoncer à la circoncision, que l’on place en elle ou non son espoir, elle ne peut être respectée sans anéantissement du salut éternel.
Pape Eugène IV, Concile de Florence (1441), ex-cathedra

"Si je n’étais pas venu, et que je ne leur eusse point parlé, ils seraient sans péché ; mais maintenant leur péché est sans excuse." (saint Jean 15, 22)