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Apologétique contre les sectes protestantes

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Message  Admin Dim 3 Nov - 15:35

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Message  Admin Ven 29 Nov - 15:33

Réponses aux protestants sur les Deutérocanoniques


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Message  Admin Dim 1 Déc - 16:52

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Message  Admin Jeu 12 Déc - 14:48

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Message  Admin Lun 10 Mar - 13:48

Le culte des images dans l’Eglise primitive ?


«La peinture est pour les ignorants, ce qu’est l’écriture pour les savants.» (saint Grégoire-le-Grand, L. IX. epist. IX)
 
L’Écriture nous apprend que l’Éternel ordonna à Moïse de faire diverses images, telles que les chérubins de l’arche d’alliance, et le serpent d’airain du désert. Donc Dieu ne défend point la peinture et la sculpture d’une manière absolue ; mais il interdit simplement l’usage des objets destinés à représenter des divinités, parce que les Juifs, portés à l’idolâtrie, n’eussent pas manqué dans ce cas de leur rendre un culte superstitieux et criminel.  
 
 
Preuves tirées des écrits des saints pères.
 
Un passage de Tertullien, ou plutôt une phrase écrite en passant, au commencement du IIIe siècle, jette aussi de la lumière sur la question que nous traitons ici. Ce père parle comme d’une chose ordinaire de la figure du Christ, représentée sur les vases sacrés, et démontre ainsi qu’au temps où il écrivait l’usage des images était ancien : ce qui le fait remonter à l’époque apostolique. Poussé par son caractère sévère aux excès de rigidité des montanistes, Tertullien reprochait aux prêtres d’accorder la paix et l’absolution aux adultères, et de justifier cet excès d’indulgence par la parabole du bon pasteur, représentée en peinture sur les calices (Lib. de pudicitiâ, p. 748).
 
Les saints docteurs, dans un grand nombre de leurs écrits, confirment ce que nous apprend Tertullien. Le pape Damase dit que sous le pontificat de saint Sylvestre, l’an 324, Constantin-le-Grand fit bâtir la basilique Constantinienne, la première élevée par les empereurs en l’honneur du vrai Dieu, « et la décora de dons magnifiques ; parmi lesquels on remarquait la statue du Sauveur, travaillée en argent, du poids de cent vingt livres, assise sur un fauteuil de même métal et de la hauteur de cinq pieds, celles des douze apôtres de la grandeur de cinq pieds chacune et pesant quatre-vingt-dix livres. »  
 
Saint Athanase écrivait en 330 (Quest. et réponse au prince Antiochus, n° 38) : « Nous autres chrétiens, loin d’adorer les images comme des dieux, à la manière des Grecs, nous nous bornons à témoigner notre affection et notre amour pour l’original dont la figure nous est présentée. Et c’est pourquoi, lorsque les traits de l’image sont effacés, nous ne faisons nulle difficulté de brûler comme inutile le bois qui l’avait reçue. » « L’honneur de l’image passe à son original, » disait saint Basile ; et l’on lit dans la lettre écrite par ce grand évêque à l’empereur Julien (Frag. de répit, ccv, cité au 2e conc. de Nicée) : « Je reconnais les apôtres, les prophètes et les martyrs, je les invoque afin qu’ils prient pour moi, et j’espère que par leur intercession, Dieu usera de miséricorde envers moi, et me pardonnera mes fautes. C’est pour cela aussi que je révère et honore leurs images, VU SURTOUT QUE NOUS Y SOMMES INSTRUITS PAR LA TRADITION DES SAINTS APÔTRES. Bien loin de nous être défendues, nous les exposons dans nos églises. »  
 
Saint Basile passe avec raison, pour un des principaux oracles de l’église grecque, nous l’entendons ici défendant au milieu du IVe siècle, le culte des images, et l’appuyant sur une tradition apostolique. Helladius, évêque de Césarée, écrivant, en 380, la vie de ce même saint Basile, son prédécesseur, dit de lui : « Fort souvent ce saint homme se plaçait devant une image de Notre-Dame, près de laquelle était aussi représenté un célèbre martyr. Il se tenait debout et en prières, demandant d’être délivré de l’apostat et impie Julien. »  
 
Saint Ambroise racontant l’apparition qu’il eut de saint Gervais et de saint Protais (Sermon sur saint Gervais et saint Protais, en 370), emploie les termes suivants : « C’était la troisième nuit ; j’étais excédé de jeûnes et plutôt dans une espèce de stupeur que de sommeil ; ils m’apparurent l’un et l’autre, accompagnés d’une troisième personne qui ressemblait au bienheureux Paul, dont je connaissais la physionomie par ses images. »  
 
Saint Augustin (Sur l’accord des Évangiles, l.I. c. x), parlant d’un livre de magie que les payens avaient voulu attribuer à Jésus-Christ, dit : « Cherchant ensuite auxquels de ses disciples ils feraient adresser cet écrit par le Sauveur, Pierre et Paul leur sont venus à l’esprit, sans doute pour les avoir vus souvent et dans plusieurs endroits peints ensemble avec leur divin maître. »
 
Passant les témoignages que nous trouvons encore dans les écrits des autres pères, bornons-nous à ajouter ici un fragment de l’épître adressée en 590, par le pape saint Grégoire-le-Grand, à Sérénus, évêque de Marseille, qui, dans un moment de zèle inconsidéré, avait fait briser les images des saints, sous prétexte qu’on ne doit point les adorer. « Si vous aviez défendu qu’on les adore, nous n’aurions qu’à vous louer, écrivait Grégoire ; mais nous vous blâmons de les avoir brisées. Dites-moi, mon frère, avez-vous ouï dire que jamais quelque prêtre ait fait ce que vous avez fait ? A défaut de toute autre considération, vous deviez être retenu par celle de ne pas vous estimer seul sage et seul saint parmi vos confrères; autre » chose est d’adorer la peinture et autre chose d’apprendre par elle ce qu’on doit adorer. Ce que l’Écriture montre a ceux qui savent » lire, la peinture le montre aux idiots qui ne savent que regarder. »

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Message  Admin Mer 12 Mar - 13:28

Culte et signe de la Croix ?


Ceux qui nous blâment d’invoquer les anges et les saints, d’honorer leurs reliques et leurs images, ont dû aussi nous reprocher de rendre un culte religieux à la croix… Cette croix, signe sacré de notre rédemption, n’a point été épargnée non plus. Lorsqu’éclata la réforme : elle a été violemment arrachée des églises, brisée, foulée aux pieds et brûlée. L’on a voulu défendre à des chrétiens de s’humilier devant ce sublime étendard, en présence duquel l’idolâtrie est tombée ; on leur a interdit de le tracer sur eux-mêmes dans les moments de tentation, et dans les instants solennels ou critiques de la vie.Suivant saint Paul (Philip. II. 8.) : « Dieu veut que tout genou fléchisse au nom de Jésus-Christ, parce qu’il s’est rendu obéissant jusqu’à la mort, sur la croix. »
 
Je ne saurais comprendre, en vérité, la différence qu’il peut y avoir entre fléchir le genou au nom sacré du Rédempteur, et le fléchir à la vue de l’instrument sur lequel il a opéré notre rédemption ; les deux démonstrations de respect, se rapportent l’une comme l’autre à la personne de Jésus-Christ. Quant au signe de la croix, c’est une profession de christianisme, dont nous trouvons l’usage établi parmi les fidèles de la primitive Église.  
 
Tertullien, qui vivait au IIe siècle, parle déjà de l’habitude de se signer comme d’une pieuse coutume consacrée par la tradition, ce qui la fait remonter aux temps des apôtres : « Nous formons la croix  sur notre front, dit-il, à toutes nos actions (De coronà) lorsque nous entrons dans nos maisons ou que nous en sortons, lorsque nous  prenons nos habits ou nos souliers, que nous allons au bain, à table ou au lit, lorsque nous nous asseyons, ou que nous allumons nos lumières. Ces sortes de pratiques ne sont point commandées par une loi formelle de l’Écriture ; mais la tradition les enseigne, la coutume les confirme, et la foi les observe. »
 
Le même père (Liv. IIe. à sa femme, c. v) écrivait à sa femme pour la détourner d’épouser un payen en secondes noces : « Lui cacherez-vous votre foi lorsque vous ferez le signe sur votre bouche et sur votre corps ? »Saint Justin (Quaest. 118) dit : « A l’heure de la prière, nous tournons la face vers l’orient, et aussitôt de notre main droite nous nous marquons  au nom de Jésus-Christ du signe qui nous est si nécessaire. »
 
On lit dans les œuvres d’Origène (Hom. VI. in epist. ad Rom) : « La puissance de la croix est telle, qu’en la plaçant devant les yeux, et en y fixant l’attention, de manière à considérer avec les yeux de l’esprit la mort de notre Sauveur, il n’y a ni concupiscence, ni luxure, ni envie qui puisse l’emporter ; et à la vue de ce signe, toute la troupe charnelle du péché prend la fuite. » 
 
Saint Cyrille de Jérusalem (Leçons aux catéchumènes) répète à peu près les paroles de Tertullien citées plus haut : « Point de honte de la croix ; si quelqu’un la cache, tracez-la manifestement sur votre front… Faites sur votre front le signe de la croix avec confiance, en mangeant, en buvant, en entrant, en sortant, avant de dormir et à votre lever…. Le Christ a triomphé des démons par la croix : montrez-en le signe avec hardiesse ; en le voyant, ils se souviendront du Crucifié ; ils le craignent, lui qui a brisé sous ses pieds la tête du dragon. »
 
Nous retrouvons les mêmes enseignements dans les écrits de saint Ephrem (Sur l’armure spirituelle) : « Munissez-vous du signe de la croix comme d’un bouclier, non seulement de la main, mais encore de l’esprit. » 
 
Saint Ambroise dit dans son quarante-cinquième sermon : « Le signe du Christ est sur notre front et dans notre cœur ; sur notre  front, afin de le confesser toujours, et dans notre cœur, afin de l’aimer. » 
 
Saint Augustin écrivait (Sermon sur les saints) : « Le signe de la croix est un rempart pour les amis, et un obstacle pour les ennemis. Et afin de tout dire en un mot, il n’est point de sacrement dans l’Église qui ne soit conféré par la vertu mystérieuse de ce signe. »
 
«Tenez la porte de votre cœur fermé, disait saint Jérôme (Epist. ad Demetr.) et munissez souvent votre front du signe de la croix, afin que l’exterminateur de l’Égypte n’ait point de prise sur vous. » 
 
Saint Chrysostôme, dans sa démonstration contre les gentils, fait l’éloge delà croix : « Cet objet de malédiction et d’abomination, dit-il, la croix, symbole du dernier supplice, est devenue plus illustre que les diadèmes et les couronnes. » Plus bas il ajoute : « Vous le  trouvez chez les princes et les sujets, chez les femmes et les hommes, chez les vierges et les épouses, chez les esclaves et les libres. Tous retracent ce signe sur la partie la plus auguste de la face humaine, car il est inscrit journellement sur notre front, comme sur une colonne Partout la croix éclate, et partout elle est honorée, dans les maisons, sur les places publiques, dans les déserts, sur les chemins et les montagnes, sur les collines et dans les vallons, sur les mers et les vaisseaux, sur nos vêtements, nos lits, nos armes, nos vases d’or et d’argent, et sur les murailles de nos maisons. » 
 
Saint Basile, saint Athanase, saint Grégoire de Nysse, saint Grégoire de Nazianze, saint Epiphane, etc., tiennent tous le même langage ; je ne cite point leurs écrits, les passages qu’on vient de lire suffisent pour faire connaître le sentiment de la primitive Église au sujet du culte de la croix.
 
Il est digne de remarque que les payens des IIIe et IVe siècles aient adressé à ce propos aux chrétiens d’alors, précisément les mêmes reproches que les protestants ont dirigés contre les catholiques, dans les temps modernes.Ainsi, dans Minutius Félix, qui paraît avoir écrit vers la fin du IIe siècle, le payen Cécilius dit en parlant des chrétiens (Cap. IX): « Leur culte consiste dans l’adoration d’un homme puni du dernier supplice….  et du funeste bois de sa croix. »
 
Ainsi encore, au IVe siècle, Julien écrivait en s’adressant aux chrétiens :  « Vous  adorez le bois de la croix, vous formez ce signe sur votre front,  vous le gravez sur la porte de vos maisons. »Nous pouvons donc aussi répondre aux protestants, ce que saint Cyrille répondait à l’apostat, ou ce que disait saint Athanase avec toute l’Église.« La croix nous fait souvenir que Jésus-Christ, en mourant sur elle a racheté, converti et sanctifié le monde ; nous honorons donc la croix, parce qu’elle nous avertit que nous devons vivre pour celui qui est mort pour nous (S. Cyrill, adv. Julian. l. VI. p. 194). »
 
« Si les gentils (lisez aujourd’hui : si les protestants ) nous disent de porter notre adoration au bois, nous pouvons séparer devant eux les deux pièces qui forment la croix, et après en avoir détruit l’image Jeter les deux pièces à terre, les fouler aux pieds, preuve que notre vénération ne s’adresse pas au bois, mais à la figure qui nous rappelle le Crucifié (Athanas. quœst. ad Antioch). »
 
Celte doctrine est encore celle que nous professons ; et en dépit de nos dénégations, nos adversaires persistent de leur côté à soutenir que nous adorant le bois de lu croix, que nous faisons un acte d’idolâtrie en nous marquant de son signe. On pourrait s’écrier à ce propos avec Bossuet : « En vérité, cela fait pitié, et quand on songe que ces chicanes ont été poussées jusqu’à rompre l’unité, cela fait horreur ! »
 
Qu’importent au reste ces accusations insensées, ces reproches qui ne tendent à rien moins qu’a prononcer anathème contre une pratique aussi ancienne que l’Église, qu’à proscrire le signe de la rédemption du genre humain, le signe distinctif du christianisme, le signe par lequel le monde a été sauvé, et par lequel il sera jugé. Continuons à imiter les chrétiens des premiers siècles, et disons toujours avec l’apôtre (Galat. VI, 14. ) : « A Dieu ne plaise que je mette ma gloire en autre chose que dans la croix de notre Seigneur Jésus-Christ.»


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